MUSKHANE in BLACK : le pouvoir du noir en déco

Le voici. Le moment tant attendu de vous dévoiler notre capsule MUSKHANE IN BLACK, une collection d’objets feutrés, tout en noir. Vous connaissez notre amour pour la couleur… Pourtant, en cette rentrée, nous avons fait le choix du noir. Le noir comme point de départ, authentique, pour mettre en valeur notre feutre de laine adoré, sa texture et ses contours.

Le noir, pour sublimer avec la plus grande simplicité nos luminaires, rangements et objets déco. Prêt(e) à y succomber ?

Une décoration noire dans la maison

Souvent qualifié d’austère ou de froid, le noir en déco est loin de faire l’unanimité. On lui préfère des couleurs plus chaleureuses ou des nuances moins pigmentées, à l’instar du gris anthracite. Pourtant, les adeptes le savent, le noir est un allié précieux pour structurer l’espace, souligner les contrastes et jouer avec la lumière. Peinture, mobilier, accessoires déco… Il s’invite par touches ou en total look pour un effet brut et authentique.

En 2024, on ose la palette noire sous toutes ses formes : mates, satinées, ou texturées, offrant ainsi une infinité de variations qui captent et reflètent subtilement le moindre trait de lumière.

Photos @lauriane.bueb

Le noir pour sublimer la matière

Le noir n’a pas d’égal pour révéler les textures. Sa profondeur souligne tous les aspects de la matière, en fait ressortir les contours et les finitions imparfaites. Une courbe, un galbe, une rugosité ou au contraire l’absence totale d’aspérités… Le noir et ses nuances charbonneuses ont ce pouvoir de mettre à nu chaque objet. Magnétique.

Lorsque les espaces sont baignés de lumière, il dessine des ombres délicates et dévoile de nouveaux détails. Il peut s’agir d’un buffet ancien, dont la façade aurait été peinte en noir, d’un vase artisanal en grès texturé, d’une chaise en métal au design minimaliste ou d’un luminaire organique noir en laine feutrée.

Photos Maeva Delacroix

Le noir comme toile de fond

Tout comme le beige en décoration intérieure, le noir a cette faculté d’être au premier comme au second plan. Intemporel, synonyme d’élégance aussi, il est de ces couleurs qui dévoilent les autres, par effet de contraste. On dit souvent de lui qu’il est une non-couleur, participant à diriger davantage l’attention sur ce qui l’entoure que sur lui-même.

Dans l’habitat, il offre une toile de fond où chaque élément trouve sa juste place, un cadre, une valeur sûre, indémodable.

Adopter le noir dans l’habitat

S’il peut faire peur, le noir s’intègre pourtant aisément dans de nombreux styles d’intérieur. Chez MUSKHANE, on reconnaît volontiers avoir un faible pour les ambiances Wabi Sabi. De beaux objets faits à la main, des matières simples et brutes, du beige, du noir et des couleurs terreuses pour un cadre de vie minimaliste et harmonieux.

Dans le salon, on pourra par exemple disposer directement au sol des paniers noirs en feutre de laine de différentes tailles pour sublimer un enduit à la chaux, ou garnir des niches murales de petits cache-vases végétalisés. Dans la salle à manger, un trio de suspensions lumineuses en laine noire illuminera une table massive en béton grisâtre. Dans la cuisine, des petits bols feutrés tout ronds habilleront avec douceur un grand plan de travail en bois brut.

Mais le noir se décline aussi en version maison de famille ou intérieur Japandi. Dans la première, il s’affiche avec audace sur un grand pan de mur pour faire ressortir des moulures ou sublimer un carrelage à cabochons. Dans la seconde, il recouvre un joli vase en terre cuite sur une étagère en bois clair d’inspiration scandinave, parfaite combinaison d’influences nordiques et japonaises, si caractéristique du style.

Photos @lauriane.bueb & @ap.notte

Le noir. Minimaliste, vibrant, profond. Le noir dans la maison pour apporter du caractère, de la profondeur, du contraste, ou au contraire, subtilement révéler des meubles ou quelques objets bien choisis.

Et si, comme nous, en cette rentrée, vous vous laissiez porter par le pouvoir du noir et du feutre de laine chez vous ?

Texte écrit par Charlotte Bobée